2019, Cushions, light projector with red gelatin, base, speaker
In order to work on a theme that is close to my heart, the nightmare, I undertook a lot of research. I was interested in many artists, from Johann Heinrich Füssli to H.R. Giger and Nicolas Bruno.
I wanted to recreate a nightmarish atmosphere with this installation from a sound and visual point of view. A reddish, organic, visceral light (bringing us back to our deepest interior, buried in each of us) as well as a heartbeat sound propagating throughout the room, compose this universe. It is possible to experience this installation in two different ways. You can move around the space, or you can rest on the pillows and close your eyes.
Feeling like we are in our mother·father's womb, a return to our origin.
« Les rêves et les cauchemars sont comme des chevaux, durant notre sommeil, ils galopent à travers notre être. » 10 December 2019, by Brume Allegrini
°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°
2019, Coussins, projecteur de lumière avec gélatine rouge, socle, enceinte
Afin de travailler sur un thème qui me tient à cœur, le cauchemar, j'ai entrepris de nombreuses recherches. Je me suis intéressée à de nombreux artistes, de Johann Heinrich Füssli jusqu'à H.R. Giger en passant par Nicolas Bruno.
J'ai voulu recréer une ambiance cauchemardesque par cette installation d'un point de vue sonore et visuel. Une lumière rougeâtre, organique, viscérale (ramenant à notre intérieur le plus profond, enfoui en chacun·e de nous) ainsi qu'un son de rythme cardiaque se propageant dans toute la salle, composent cet univers. Il est possible de faire l'expérience de cette installation de deux manières différentes. Se déplacer dans l’espace, ou, se poser sur les oreillers et fermer les yeux.
Se sentir comme dans le ventre de notre mère·père, un retour à notre origine.
« Les rêves et les cauchemars sont comme des chevaux, durant notre sommeil, ils galopent à travers notre être. » Le 10 décembre 2019, par Brume Allegrini